Salle diplomatique

Ici dans cette grande galeries du Palais Royal sont reçu les diplomate et chef d'état étrangers

Le prince après l'école arriva dans la salle et attenda l'arrivée de son invité

Jean Rolfin, qui avait pris l'avion jusqu'à la capitale de l'Austrus, arriva en compagnie de son ministre des affaires étrangères Jean-Pierre Delieu et de quatre agents de sécurité.

Jean-Pierre Delieu, chuchotant, sans que personne d'autre que le Président ne l'entende : Nous sommes donc d'accord, mettons-le en confiance, ne faisons pas la même chose qu'hier.

Il faisait bien sûr allusion à l'"accident" de l'arrivée du Président serpentin au Dalderus.

Jean Rolfin, au Prince Félix II : Bonjour votre majesté, quel palais somptueux ! Comment allez-vous ?

Le prince fut surpris qu'on lui demande si il va bien après la mort prématuré de sa famille dont il n'est plus que le dernier membre vivant mais bon il garda se sentiments pour lui

-Je vais bien , je suis heureux de vous rencontrer monsieur le président , je vous remercie ce palais fut construit par mon arrière arrière grand père .

Jean Rolfin : Tant mieux. Entrons tout de suite dans le vif du sujet. Suite à l'effroyable guerre contre le Vieux Tradha, qui a causé des millions de morts, je souhaite la création d'une organisation internationale destinée à maintenir la paix, et à ne plus jamais reproduire un tel bain de sang. J'aimerais connaître votre avis concernant cette proposition et savoir si vous rejoindriez cette organisation si elle venait à être créée.

Des cette instant un homme pénétra dans la pièce il s'agissait du régent du royaume un homme peut digne de confiance qui par tous les moyens chercher à prendre le trône au prince d'après des rumeurs il aurait tenter sans succès à plusieurs reprises d'empoisonner le prince.

Le régent :
Votre Majesté rejoindre cette organisation et une très mauvaise idée

Le prince : je suis sur que la rejoindre nous aidera beaucoup monsieur Walner

sur ses mots le régent Walner pensa que empoisonné le prince pendant le repas de ce soir serai une bonne idée

Jean Rolfin : J'en suis très heureux, votre Majesté. Aussi, je vous invite à venir à Jattralis la semaine prochaine, le 3 février, afin de rédiger et de signer le texte fondateur de cette organisation en compagnie d'autres chefs d'Etat.

Le régent siffla discrètement entre ses dents "il ne viendra pas en vie chez vous

-Le prince :je serai ravie de venir chez vous pour signer

Jean Rolfin, choqué par l'attitude du régent, mais ne disant rien : J'en suis très heureux ! Votre Majesté, pourrions-nous parler en privé, s'il vous plaît, seulement tous les deux ?

Le prince et le président fut transféré dans le petit salon

le prince :je vous écoute monsieur le président ?

Jean Rolfin, pas très fort, mais ne chuchote pas : Voilà. Votre régent, M. Walner, m'a dit discrètement quand je vous ai invité le 3 février "Il ne viendra pas en vie chez vous". Je m'inquiète pour vous, votre Majesté, et, bien que je ne connaisse pas vraiment les règles de la régence chez vous, je vous conseille de changer de régent si cela est possible, car je crains que les rumeurs portant sur lui sont fondées. J'ai la conviction que vous serez un bon roi pour votre pays, et que vous tenterez de rendre votre peuple heureux, et il n'est pas dans notre intérêt, et surtout pas dans le vôtre, qu'un roi qui ne pense qu'au pouvoir soit à la tête de votre Etat.

-heu sachez que le régent walner ne peut être destituer que par un membre majeur de la famille royale , pour ces rumeurs je ne suis pas au courant.

Jean Rolfin : Des rumeurs disent que votre régent a voulu vous empoisonner. C'est ce que je crains. Alors je vous conseille de faire très attention à vous, car il semble qu'il voie d'un mauvais oeil le fait que vous vouliez participer à une organisation destinée à maintenir la paix.

-je ferai attention mais je ne craint de ne pouvoir rien faire contre le régent si vos rumeurs sont vraies je ne pourrais éviter d'autres tentatives d'assassinat

Jean Rolfin, réfléchissant : Mais entre vous-même et votre régent, lequel a priorité si vous donnez tous deux des ordres contradictoires à un de vos gardes ?

C'est le régent qui a tous les pouvoirs je ne suis même pas couronné monsieur le président

Jean Rolfin, réfléchissant longtemps : Voilà ce que je vous propose. On fait en sorte que votre régent nomme des ministres serpentins, qui pourront vous surveiller. De plus, il me semble que les ministres peuvent faire changer de régent s'ils le considèrent incapable ... vous me suivez ?

-oui je vous suis d'ailleurs vos informations sur le changement de régent sont exact , pour les ministres dite au régent que le prince approuve

Jean Rolfin : Splendide ! Je les fais venir au plus vite !

Jean Rolfin sortit son téléphone portable. Ce n'était pas du grand luxe, puisqu'il était issu d'une famille d'agriculteurs. Il appela plusieurs personnes - Louis du Rosier, Benoît de Serviny, Alain Gaudusson, Michel de la Termitière et Yvan de Friand-Gosier - et leur expliqua le contexte et le déroulement des opérations.

Jean Rolfin : Ils vont prendre le premier avion et venir ici. Pendant que je suis là, j'aimerais aussi vous parler du PHEMI. Vous en avez sans doute entendu parler. Il s'agit d'un pacte d'alliance entre les Etats monarchiques et impériaux. Nos services secrets ont appris que les Etats signataires cherchaient à vous faire signer ce pacte. Seulement, ce texte prévoit que les armées de tous les pays membres seraient mobilisés si la majorité des Etats signataires souhaitent déclarer la guerre à un pays. Notre pays, fragilisé par la Révolution, encore plus par la guerre contre le Vieux Tradha, et ayant quelques tensions dont vous avez entendu parler avec le Dalderus, nous ne pourrions résister à une attaque combinée de trois puissances - le Dalderus, le Catriana, et l'Austrus. Je vous demanderai donc, pour votre bien comme pour le mien, de ne pas signer un tel traité.

Je ne compte pas signer un traité d'alliance avec d'autres puissance monarchique je vous laisse avec le régent walner je doit réviser mais cours j'espère ne pas être en danger

Jean Rolfin : Tant mieux. Je vous laisse réviser vos cours à présent.

Il sortit et devant le regard interrogateur de Jean-Pierre Delieu, le ministre des affaires étrangères, il fit un clin d'oeil discret.

Jean Rolfin, au régent : M. Walner, sa Majesté et moi-même avons pensé qu'il serait bien de nommer des ministres issus de la noblesse de mon pays, tels que Louis du Rosier, Benoît de Serviny, Alain Gaudusson, Michel de la Termitière et Yvan de Friand-Gosier. Qu'en dites-vous ?

C'est Régent Walner monsieur le président , je ne suis pas très ravie à l'idée de confier à vos nobles le ministère mais c'est une volonté de mon prince donc je vous l'accorde , vous devait assurer un conseil des ministres le plus vite possible car voici une requête que vous leur donnerai pendant votre réunion pour une augmentation des pouvoirs du régent.

Jean Rolfin, faisant mine d'être d'accord avec cette proposition : Très bien, Régent Walner, je m'en occupe.

Il regarda sa montre.

Ils devraient arriver d'une minute à l'autre ...

Les nobles serpentins entrèrent dans la salle.

Les nobles, s'inclinant : Bonjour, Régent Walner.

Jean Rolfin, aux nobles : Le Régent Walner souhaite la tenue d'un Conseil des Ministres immédiatement. Où pouvons-nous le tenir, Régent Walner ?

Vous trouverez dans l'aile Gauche la Salle du Conseil (dans les topics)

Régent Walner : ils en mette du temps à me donner plus de pouvoirs c'est ministre .....